Au centre de l'atelier, occupant presque tout l'espace et montant jusqu'à la voûte, trônait une énorme machine brillante. Son centre était constitué d'un gros réservoir cerclé de rivets, hérissé de tubes et de cadrans. Sur le côté, un ensemble d'engrenages grinçait ; de l'autre, des bobines de cuivre, des tuyaux gonflés et des tubes de cristal dégoulinaient de lent-argent. La machine semblait respirer.
Je suis retourné dans mon bureau pour consulter mes notes. J'ai lu jusqu'au petit matin. Pas de nouvelles conclusions. Je tombe de fatigue. Benet m'a apporté du thé.